Tu veux ou tu veux pas ?

Par des acronymes barbares dont la signification n’est pas moindre, l’on voudrait nous faire croire que les unes pourraient mais pas les autres.

Il n’est pas à renier le désir d’enfant d’une femme désireuse d’être mère.

Il me semble donc normal de tout faire pour qu’elle puisse le faire.

Et d’ailleurs, les associations du genre n’ont pas besoin autrement de mon accord pour s’accorder.

Cela a d’ailleurs l’air de bien fonctionner puisque le plan est entrain de voir le jour.

Mais, de l’autre côté, vous savez cette chose de moindre importance qui était pourtant précédemment important et imposant.

L’homme, lui, doit-il se taire ? Ne peut-il lui aussi faire valoir son droit son vouloir d’enfant même s’il ne peut lui-même enfanter.

Mais femme ne pourra pas le faire sans ce qui découle de lui.

Alors pourquoi tant de mystère et tant de silence de celles qui défend le droit d’enfant de leurs pareilles mais se taisent, dans les villes et les champs, dès qu’il s’agit du même pour l’homme, le papa d’un enfant ?

N’y a-t-il pas tout simplement droit à tout le monde d’avoir ou n’avoir pas un enfant ? Ceux ou celles, celle ou celui qui ne voudrait pas, n’en auraient pas , tandis que ceux qui, en voudraient, l’auraient et le singulier peut aussi s’articuler.

D’une pub pour un opérateur dont un certain invite à monter dans un van fleurant bon les années libres d’antan où les libertés sexuelles, voire plus, étaient de mises.

Mais n’est-ce pas celui qui est agacé Outre Atlantique accusé d’avoir abusé de son statut de star débonnaire ? Un autre qui se croyait star de sa star-Up de France, s’est, selon son service d’ordre affecté à sa majesté pas royale, fait enguirlandé comme au bon vieux temps par son ex-professeur devenue sa femme pour mieux le suivre.

Va-t-il comprendre que d’autres que lui peuvent penser différemment et mieux que lui ?

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