Tu attends quoi ?
La présentation du plan pauvreté, dont la mise en place peut attendre janvier 2019 – ainsi y verra-t-on plus clair sur les besoins en hiver… – se télescope avec d’autres événements plus importants sera reporté selon la réalité desdits ou non.
Ceux qui pourraient y voir l’ombre d’un ballon rond risque de s’effondrer en larmes de ne rien y attendre d’un chef de l’été qui ne rend jamais les armes.
La ministre du genre n’avait qu’à faire le nécessaire, elle qui n’a rien à voir avec les festivités footballistiques et d’ailleurs il s’agit d’une absence de la plus haute importance puisqu’il sera invité à mieux connaître vodka, saumon harengs et caviar de là-bas.
Reviens l’illuminé, l’on a les (presque quasi) mêmes à la maison.
On ne peut pas, de toute façon, être l’ami des riches et protecteur des pauvres.
Il a choisi son camp, piscine et vaisselle font bon ménage.
L’homme qui doit plus de 450 millions, et que l’illuminé doit forcément admiré en son palais de tant de constance, devrait être obligé de tenir une de ses promesses.
C’est du moins ce qu’a retenu un tribunal prud’homal en faveur d’un couple de régisseurs qui eux ont cru au baratineur, bon comédien en scène du reste.
La question à préjudice moral qui pèse, va-t-il se faire un devoir d’aller en appel lui qui s’est retiré de toutes obligations depuis au moins 5 ans ?
D’une pub qui hante nos écrans télé pour des rencontres qui semblent aller dans le bons sens puisque la belle monte en te regardant les marches de ce que l’on devine être un escalier.
Bon, me direz-vous, fais gaffe, c’est une gamine, elle pourrait être ta fille.
Oui, peut-être, mais justement, ce n’est pas.
Et la pub c’est fait uniquement pour rêver, non pas forcément pour céder, pas vrai ?
