Il fait le buzz. Il est de votre coin tout en étant national voir international pour sa présence sur un réseau social où pullulent les jeunes, du moins d’esprit.
C’est par cette voix numérique que ce jeune curé fait valoir sa parole au-delà de son autel perché.
Contre l’avis unanime d’une grande partie du clergé effarouché, il fait valoir que les écritures n’ont jamais vilipender l’homosexualité.
Pour répondre à sa rhétorique qu’il réprouve en sous-main, un autre jeune curé, plus on est de fou plus on rit, fait savoir sa version à lui.
Certes, l’homosexualité n’est pas écartée mais seulement dans la pensée.
Par contre l’acte lui est défendu puisqu’il est par nature contre-productif du fait que l’acte ultime de procréation ne peut se réaliser entre deux personnes du même sexe.
Si vous ne le saviez pas, maintenant vous êtes informé et vous ne pourrez jamais dire que vous ne saviez pas.
Un autre argument pour le contre serait qu’il s’agit là d’actes ne procédant « pas d’une complémentarité affective et sexuelle véritable ».
Il est vrai que ces braves âmes sont bien placées pour parler de « ces actes contre nature » comme ils disent.
Cependant, reconnaissant que les personnes concernées n’ont pas voulu cette perversité mais la subisse, il ne faut surtout pas les rejeter.
C’est vraiment à coup sûr d’être atteint de schizophrénie.
Mais, comme dans ces lieux saints, comme ils le chantent à tout chœur, il ne peut être question « de bénir les unions homosexuelles » l’on comprend peut-être mieux pourquoi est-ce que le mariage est toujours interdit ^pour ces hommes d’église… Au fait, et pour en terminer, il curieux que la polémique souffle seulement sur le mot lévitique « arsenoketai » signifiant « des hommes qui couchent avec des hommes ».
Si la femme a toujours raison, elle n’a pas le droit au chapitre sur la question.
