Il nous est arrivé en mars 2018 ; sans doute le temps des transactions et traduction.
Cela commence par la vanité d’un vieillard qui à l’aube de sa mort se fait un devoir de réparer ses torts vis à vis d’un héritier éventuel qu’il aurait eu à la suite d’une aventure de jeunesse.
Notre détective privé et réserviste de la police pour le reste du temps s’engage alors dans une quête qui n’est pas vraiment de tout repos puisque les prétendants à un éventuel héritage ne voit pas d’un bon œil une surprise de dernière heure arriver.
Cela se complique un peu avec le travail quotidien d’un violeur en série dont il faut bien s’occuper si l’on ne veut pas qu’il récidive encore.
Mais , après les habituelles lenteurs de début et l’accélération de la fin, tout fini bien, les méchants sont en prison, les héros sacralisés et les gentils récompensés de ce qu’ils sont.
A lire sans faillir ; c’est encore mieux qu’à la télé.
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