Sur qui compter ?

Vu un reportage sur la gendarmerie d’une certaine région. L’on peut penser ce que l’on veut de cette organisation, mais force est de constater la légitimité de leurs actions souvent positives devant nos errements à nous citoyens de ce pays.

Mais, en regardant, une question me hante : est-ce bien dans leur mission de s’occuper du ménage de A à Z de leurs véhicules et locaux ? N’y aurait-il pas moyen de payer des équipes spécialisées pour ce faire.

Les forces de l’ordre pourraient peut-être en profiter, par exemple, pour prendre un peu plus de repos et être plus sereins sur les routes … L’autre empereur du perchoir des anciens d’une autre assemblée sort de sa torpeur d’été pour prendre le train de la complainte des gens biens qui trouvent que l’on a trop fait sur son collègue qui avait été perché en parallèle.

A-t-il des craintes sur un autre regard sur son auguste présence ou pense-t-il vraiment qu’il ne fallait pas assombrir le tableau avec les corbeaux ? A moins qu’il ne fasse sienne une certaine devise que tant on tient un fromage mieux vaut ne pas la lâcher et en profiter.

Sinon, il risque de vous couler entre les doigts déjà bien plein d’une confiture qu’il n’y en aura pas pour tout le monde.

Un chef d’entreprise a été obligé de s’expliquer à défaut de répondre d’une éventuelle responsabilité en harcèlement au travail afin de liquider des salariés en trop sans leur donner leur dû.

Il faut dire qu’à l’époque il n’y avait pas eu l’illuminé pour inventer le licenciement d’un commun accord forcé pour les braves volontaires, ni le barème bien exprimé des indemnités tronquées à la suite de licenciement abusif.

L’homme qui voulait voler haut est tombé à l’eau.

Il n’est pas encore assez armé pour aller au combat.

Mais, c’est certain, mieux qu’Icare, il l’aura dans la manche.

Certains députés élus, il paraît qu’ils le sont tous très démocratiquement, font savoir qu’ils ont conservé l’habitude de manger comme tous les français moyens.

Cela explique sans doute, la disparition de l’ascenseur social puisqu’il n’y a plus moyen de se démarquer par le bien manger.

Et si l’on continuer d’acheter des costumes sur mesures ou boots à 10 000 ?

Quitter la version mobile