Faites attention sur la route parfois, coule l’argent à flot. Certains pensent pouvoir la prendre sans encombre.
Mais parfois, trop souvent l’issue en est fatal. La pente est trop forte d’une trop grande glissade.
Et si vous ne prenez pas correctement le virage, le mur droit devant en impasse de votre sort.
C’est ainsi, en ce moment même, qu’un tribunal juge des indélicats que l’on nomme encore ripoux dans le XII° de notre capitale.
C’est à ne pas en croire ses yeux de voir sur le banc des futurs condamnés, celui très bien noté à qui les malfrats trop protégés donnaient argent sans compter.
Enfin, le parti pris est pris de faire quelque chose contre la pornographie.
Ce ne sont plus des adultes plus ou moins consentants, de jeunes ados en mal de savoir comment cela se passe dans la chambrée fermée de leurs parents.
Ce sont maintenant des petits qui se font prendre à des jeux qu’ils pensent être aux parents.
Et malins qu’ils sont, ils reproduisent ce qu’ils ont vu avec leur ignorance.
Ho, non pas le vieux jeu du médecin exercé avec sa cousine, mais la tentation de pénétration de sa petite sœur en position de faiblesse asservie.
Il y a de tout dans ce mal actuel.
Un inceste forcé de jeunes qui prennent ce qu’ils ont sous la patte.
La soumission esclavagiste de la gente féminine est chose banale, acquise.
Sans transition, l’on entend dire das le gouvernement que l’on entend peu dire que le Président agit fermement sur le social.
Aussi, fait-il retour sur le thème pour dire la réforme de l’Ena consistant à un concours particulier pour ceux sortis des sentiers non dorés.
En somme celui qui est premier de cordée du trottoir d’en face, ne voit dans le social que la capacité à faire de l’élitisme.
On n’est pas sortis de l’auberge française ; ouvrez les portes.