D’autres encore pour qui le GENEPI montait en tête.
C’était parfois saoulant.
Mais l’essentiel restait : aider l’autre emprisonné.
Mais voilà, le politiquement correct de l’extrême a bâti ses murs dans ce qui devait être le chemin de reprise de la liberté.
Comme pour beaucoup d’associations, des coucous ont investi les lieux et de leur minorité ils ont fait croire la majorité.La stérilité des débats féministes a envahi cet espace de liberté pour faire régner leur terreur.
Bilan, plus de Génipi, ceux, et celles, qui en bénéficiaient comme une prise d’air restent encore plus enfermés.
Tant pis, ils n’ont pas le savoir, qu’ils restent où ils sont, ces dames ont d’autres combats prioritaires.
La pénitentiaire n’en demandait pas plus qu’on leur retire ce poil à gratter et à supposer autrement.
Vous n’en croirez pas vos yeux, ou vos oreilles si je devais vous le dire en face.
La fonction Stop and Go qui consiste à couper le moteur lorsque vous êtes à l’arrêt, ne fonctionne pas si vous faites de petits trajets.
En effet, si la batterie est en-dessous de 80 % la fonction ne fonctionne pas.
Or, l’achat du véhicule porte sur une petite citadine qui n’est pas disposée à faire de grands trajets.
Adieu la logique de moins consommer notamment en paysage urbain ; j’aimerai bien connaître l’as du marketing prévoyant cette option payante qui ne sert à rien dans les faits.
Un autre truc auquel je ne croyais pas.
Nous avions rencontré un homme qui commençait à faire la manche dans la rue.
Il quémandait un bout de pain ou mieux de billet (entier celui-la).
Après discussion, il affirmait vouloir en sortir.
Je lui propose alors du boulot dans une association caritative dont je suis administrateur et membre du bureau.
Rendez-vous pris avec le directeur.
Et croyez le ou pas, je vous le donne en mille : la personne n’était pas présente au rendez-vous.
Et ne me parlez pas de coïncidence, merci.
