Si tu nous croies…
La pression est partout, surtout en Allemagne.
Et ce n’est pas de la petite bière.
Dans les salles de rédac, les petits chefs avec assez de pouvoir pour faire pression sur le terrain, vont jusqu’à exiger des témoignages de vie juste issus de leur cerveau dévoyé de n’avoir pas pu officier dans le cinéma.
Et c’est dans ce grand quotidien que le scandale arriva d’un journaliste médaillé de grands prix dont la matière est chocolat rendant son patron marron.
L’Europe va bien.
C’est pourquoi certains s’en vont.
Mais, comme ils sont nobles, ils veulent que ce soit à leurs conditions.
Dommage que l’on ne puisse pas en faire autant avec nos patrons dans le style, un contrat de travail a été signé.
Mais les conditions ne me plaisent plus.
Je vous quitte en conséquence mais vous devez accepter cette rupture à mes seuls conditions négociées avec moi-même.
Remarquez, il est vrai que depuis déjà longtemps, c’est la pratique courante dans le monde des affaires, des services et l’industrie… Alors pourquoi se gêner puisque la seule forme qui vaille est celle de montrer celui qui est le plus et de terrasser celui qui est à terre.
Il en est ainsi Outre Atlantique où le clown nous rend bien triste de toutes ces facéties.
2 milliards 800 millions,ces derniers étant financés par les retraites et le reste par les salariés dont on sait bien que le patron n’en fait pas parti, tombent dans la manne, chaque année, du gouvernement.
Ce capital doit servir aux mieux être des personnes âgées domiciliées en maison non close.
Pourtant que l’on sache, la situation s’empire pour ces personnes de plus en plus.
Mais rien à voir avec le Cice qui n’engraisse surtout pas les sociétés privées.
Mais cela est très bien de se mettre tout droit en marche sur, et pourquoi pas en ce payslaïc, les chemins de Compostelle qui comme on le sait le saint est passé partout.