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Seules les apparences sont floues

Ce chirurgien travaillait trop. Il a laissé des traces. 200 supposées victimes dont plus de 10 déjà révélées ont trouvé des gestes de trop genre pédophilie.

Mais qu’est-ce que de jeunes gamins peuvent y savoir.

Ont-ils la connaissance suffisante pour accuser ce grand homme obligé de lier son temps de travail avec celui privé.

En somme, il pratiquait  un work home comme l’on dit dans les milieux qui s’autorisent.

Sans jamais pouvoir couper les fils d’une cicatrice qui n’en fini plus de se faire (re)sentir.

Comme dans certains milieux trop favorisés, le passage de la ligne jaune est trop souvent de mise surtout dans les marchés publics, le pouvoir a décidé de prendre une mesure ferme : il hausse le plancher d’obligation à faire offre de marché public.

Ainsi les élus en cour pourront copiner avec qui ils veulent sans avoir à se cacher et ceux de l’opposition non élus n’auront qu’à participer au grand show du débat en conseil municipal.

Le projet concocté en toute urgence comme un devoir de vacances n’a pas eu l’heur de plaire aux quelques grévistes de quelques 220 établissements recensés.

Il en faudra, sans aucun doute, plus pour atteindre une somme raisonnable faisant voir le bout du commencement des 300€ nets demandés pour commencer à discuter.

Peut-être trouveront-ils complaisance auprès de quelques ronds points sillonnant les quartiers déshérités.

Pourtant, Mme la ministre pensait que son tour de passe passe allait faire sauter les bouchons et que les prises en charge ne seraient plus en état d’urgence.

On ne peut même plus faire confiance aux représentants qui ne cessent de tenir parole au grand dame des politiques expérimentés.

Une patronne de commerce s’offusque que la personne qu’elle voulait, top c’est dans la poche, engagée s’est débinées au dernier moment.

Elle regrette le temps passé où cela ne se faisait pas.

Ben oui, quoi, devant les maigres propositions faites dans un temps qui ne dure pas longtemps tout le monde en prend pour son grade.

Ainsi va la réflexion des sans .

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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