RSA
Notre pays, bien que vivant sous un régime ayant tendance à être de plus en plus autoritaire et, partant, rognant des pans entiers de note si chère liberté sans se poser guère de questions car c’est la Sécurité qui prédomine, a encore quelques intentions sociales même si celles-ci deviennent de plus en plus peau de chagrin.
En effet, le encore président en place sans majorité mais avec un gouvernement démissionnaire continuant à faire des siennes pour faire beau, n’a pas cessé sa longue bataille contre les aides sociales de toutes sortes.
En contre-partie, il faut bien le dire, il a baissé les impôts de ceux qui pouvaient en payer et, dès son arrivée en catimini, il a réduit à presque rien l’impôt supplémentaire des très riches même s’il a laissé de quoi se ronger les ongles les seuls propriétaires de résidence principale trop bien placée.
Aussi évite-t-il de faire trop de publicité au trop fameux Rsa (Revenu de Solidarité Active) qui pourtant n’est pas perçu par tous les ayants droit.
Pourtant, toute personne sans ressource, ou avec des revenus moindre peuvent y prétendre.
Pourtant, l’inscription est facilité en suivant les indications en ligne du site régional de la Caf.
Mais, il est vrai que l’accès à ce type de possibilité n’est pas vraiment à la portée de tout ceux qui en auraient besoin.
Et, parfois, souvent (?), certaines personnes ont encore pudeur à déclarer leur manque à vivre – un peu comme faire valoir la procédure de sur-endettement.
Si, actuellement les conditions d’octroi sont simples – cartes d’identité et SS avec justificatif des (non) revenus comme la feuille d’impôt – les conditions de durée vont se compliquer de janvier 2025.
L’allocataire devra s’inscrire à France Travail et subir les contraintes correspondantes ainsi que faire une activité d’au moins 15 heures par semaine.
Sûr que les fonctionnaires déjà débordés vont trouver du boulot bien rémunéré et stable.
Alors au travail..