Retraite douce

La retraite à 62 ans fait bondir d’un saut de cabri géant les arrêts de maladie.

On imagine ce qui va ressortir de la poussée de fièvre à 65 ans, voire plus si affinités gouvernementales.

Il faut choisir : soit exploser les fonds de retraite, soit couler ceux de la sécu.

Mais même l’arbre du libéralisme capitaliste ne pourra cacher la forêt des besoins humains en la matière.

Sauf à penser que l’imagination se borne au pensées d’hier.

A savoir, privatiser la Sécurité Sociale pour les petits soins facilement gérable en masse et laisser les risques lourds à la solidarité nationale ou augmenter les jours de carence pour les petits vieux obligés de travailler jusqu’à leurs beaux 70 printemps.

Les deux unis ne sont pas inenvisageables.

La prise en charge de leurs médicaments ne se fera plus, les malades concernés ne s’en souviendront plus.

Ceci explique sans doute cela.

Par contre, le cadeau fait aux riches est net et sur : 3 milliards d’Euros leurs seront désormais épargnés chaque année dès cette année.

Il semblerait que seulement 120 000 ménages resteraient assujettis à l’If, nouvel impôt taxant uniquement l’immobilier, conte 360 000 au bon vieux temps dépassé de l’ISf.

Conclusion, l’on a comme l’impression que nombreux sont ceux qui sont désormais locataires riches ou propriétaires de pauvres maisonnettes… 3 alpinistes sont morts de la même cordée entraînés par le premier.

C’est désespérant, mais il faut bien constater, il ne fait pas toujours bon de suivre le premier de cordée contrairement à ce qu’à pu dire l’illuminé.

Bien sûr, ils ont participé à changer le monde, très souvent sans vraiment demander l’avis de leurs concitoyens.

Mais, est-ce bien une raison pour faire l’apologie de dictateurs, sanguinaires, racistes et plus encore dans la folie et oser les mettre dans la même collection avec d’autres qui ont fait autrement.

A moins, que, bien entendu, l’histoire racontée sur ces derniers ne corresponde pas vraiment à la réalité…

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