J’aime bien ce slogan de pub d’un qui se reconnaîtra : « Oser ne pas filer » pour un vêtement collant.
Rester figé(e) pour être beau, belle, c’est toute la reconnaissance sociétale exprimée en contre coup d’une pensée que l’on ne saurait dire.
Et bien dites-le, soyez enfin vous et vous verrez.
Il y en a marre de ces gens qui prennent leur cas pour l’essence même de la société et veulent imposer leur pensée unique, inique ? Oui, il existe des situations inadmissibles qu’il faut combattre.
Mais combattre ne veut pas dire tuer pour être à son tour semblable à celui désigné comme adversaire.
Certaines sectes féministes font de leur combat le rejet de l’autre masculin.
Pour elles, l’homme est le mal même, l’être satanique qui doit être éradiqué.
Ou, si l’on ne peut faire autrement dans sa chair, il doit être réduit à l’esclavage.
Servir de force autant la femme qu’il l’a forcée dans la violence à faire.
Mais bon sang de bonsoir, qui a participé à l’éducation masculine de l’enfant qui n’en savait rien ? Qui déjà à l’aube de sa vie l’a rejeté loin de tout ce qui était féminin dans le genre « ça ce n’est pas pour toi, sors de la cuisine ».
Qui est plein(e) de larmes de tendresse de voir son gamin avec sa première conquête ? Qui, qui ? Il est de bon ton de dire qu’il ne faut pas qu’un petit dorme avec une petite.
Forcément, il se passera quelque chose.
Forcément, ce ne sera pas du fait de la petite.
Elle est ne fait qu’attendre ce qui lui est forcément interdit.
Et pour savoir si vous lui plaisez, elle se fera belle comme elle l’appris de sa si chère famille.
D’ailleurs qu’attendent celles qui sont sur le trottoir soir au matin ? Pour en terminer, dites non à tout cela dans un immense possible de vie ensemble en respectant l’autre.
Et le respect c’est accepter ses différences.
