Section de recherches est une série bien française où les héros trouvent toujours la bonne solution.
Ainsi le bien ressort toujours plus fort sur le mal sans toutefois l’éliminer complètement sinon ce ne serait plus une série.
Dans la réalité, ce n’est pas la même chose, les assassins courent toujours, et la justice trouve prétexte à ne pas relancer les enquêtes par soucis de ne pas trop dépenser d’argent difficile à gagner alors que les pleurs des proches des victimes sont naturels et pratiquement jamais forcés.
La France sera désormais muette car il est décidé une minute de silence par acte féminicide.
Les sourds ne seront donc plus aveugles et ces derniers traverseront en toute tranquillité puisqu’il n’y aura plus rien à voir.
Les interprétations sont toujours faciles : d’un reportage sur Hong Kong, une journaliste dit que le pays est divisé en deux.
Ceux qui se disent hong kongais et ceux qui pensent être chinois.
Jusque là, on suit assez facilement.
Mais, lorsque le sait que les premiers représentent 90 % et les autres 10 %, l’on se pose la question d’une certaine subjectivité.
Le tsar sans nom, puisqu’il ne l’est pas, est arrivé sur Marseille : L’illuminé lui a passé un savon pour son incompétence au sujet des droits de l’homme.
Jean qui rit, Jeanne qui pleure.
L’un voit sa production en récoltes augmenter grâce à la sécheresse et chaleur qui a envahi la France.
L’autre voit sa production à néant.
Pas de compensation prévue entre ces agriculteurs paysans éleveurs cultivateurs.
Mais c’est le marché international boosté avec la concurrence sans frontière qui fait l’arbitre.
Et, il n’est pas sur que nos céréaliers fassent leur blé.
L’allocation de rentrée est versée.
Curieusement, les boutiquiers vendant les articles scolaires constatent une vraie hausse de la fréquentation des clients, et des achats.
Certainement un coup pied à l’âne pour ceux qui ne mettent qu’en avant, sans souvent en avoir vraiment la preuve, les quelques familles qui en profitent pour s’acheter un téléviseur ou autre et laisser leurs enfants dans la misère scolaire.
