Mais, malheureusement, et à coup sur si lees rapporteurs avaient passés dans les autres maisons de retraite, les conclusions auraient été les mêmes car l’on ne peut croire une seule seconde que le fric résout tout.
Tout d’abord, noter et se rappeler que ces établissements sont vendus en pièces détachées à des investisseurs monsieur, madame tout le monde à qui l’on a fait miroiter un placement sur pour leur propre retraie à eux.
Ce système, recherche d’un bon rendement sans difficultés de revente, avec la population « clientes », personnes âgées de plus de 85 ans dont selon les témoignages recueillis auprès des salariés soignants, 70 à 80 % de la population serait atteint de démence.
Ce qui explique peut-être certainement, qu’elles ne se plaignent pas vraiment de leurs conditions de repos surtout qu’elles ne sont là que pour un séjour de 2 ans et 5 mois…
Mais, il est évident que ce n’est pas une raison pour, par exemple, ne changer les couches indispensables à cet âge, que si elles sont vraiment saturées car pour les financeurs, il n’est pas question de dépasser le montant de subvention reçu par la Région.
C’est vraiment digne que de savoir cela ; mais ne vous inquiétez pas cela vous arrivera, et à moi aussi… Un autre phénomène qui n’a rien à voir avec les besoins de rendement, c’est que les personnels doivent toujours faire plus tout en étant moins.
L’effet ciseau arrive à coup sur rapidement ce qui a pour l’avantage de couper les liens si par malheur liens existaient.
D’autres exemples de ce rapport qui en déborde, couchés pour le bon soin des députés sont légion sur le (mal)traitement réservé à nos anciens, mais neufs dans le statut de personnes âgées.
Mais, et c’est le bon du mauvais côté des choses : ce rapport ne fait pas que rapporter, il exprime la nécessité de prendre sur ce qui fonctionne ; espérons que ce sui se fait dans les pays du Nord se fasse un jour rapidement ici sur notre territoire défenseurs du droits des hommes.
