Qui veut des millions ?

La plus présidente de l’extrême qui part en marche vers le poste suprême, a tout de même des problèmes pour garantir sa survie financière électorale.

Voyant que le déficit du parti qu’elle dirigeait en bonne mère de famille a quelques dettes à hauteur de 22 millions et quelques casseroles européennes accrochées à ses basques, elle peine a trouver nouvel arrangement bancaire.

Aussi, s’est-elle résolue l’âme en peine mais bonne républicaine, a alerter le chef de toutes les banques pour qu’uns solution lui soit trouvée.

Sera-t-elle entendue par celui qu’elle veut détrôner ? A suivre, on en frétille déjà.

Mais, elle n’a qu’à vendre du voyage et fort logiquement devrait-elle avoir gains de cause comme ces deux voyagistes qui ont obtenu royalement 7 et 3 millions sans coup férir.

A propos de banque, cela fait du bien à entendre qu’une bonne en affaires a prévu d’augmenter ses collaborateurs entre 10 000 et 25 000€/an.

C’est dire que les bourses se tiennent bien.

Tout est bon dans le cochon.

Et, par ces temps de disette le patron fait tout pour conserver ses salariés à demeure.

Mais, attention, point trop d’avantages.

Un gazier trop généreux, s’est fait rattraper par la patrouille, sans doute jalouse et revancharde, et doit en plus casque 2 450€ nets par salarié.

Le carnassier milliardaire a décidé de bouter hors ses affaires le légendaire héritier qui ne sait pas gérer.

Cela prouve au moins que d’hériter de papa ou maman n’est pas vraiment une sinécure.

Faut pas les jalouser.

Cela ne sert à rien d’avoir un contrat avec l’armée, votre entreprise peut-être placée en liquidation judiciaire à cause des restrictions budgétaires.

Et, dans ce milieu c’est le carnage.

Il n’y a qu’à voir la bataille rangée autour du contrat kangourou à coups de milliards qui s’échappe de France pour aller se prostituer sur d’autres marchés.

Et la balance commerciale extérieure pleure de n’être plus le fleuron de l’économie française.

Quitter la version mobile