Faillite des copropriétés : Avec le plan banlieue, remonte à la surface la faillite de certaines copropriétés, souvent ex-logement HLM. C’est génial de devenir propriétaire de son appartement, mais on devient également copropriétaire des parties communes. Et lorsque l’office HLM vend les appartements d’un immeuble aux occupants, cela n’est pas suffisamment expliqué. En étant locataire, les ascenseurs sont en pannes, il faut repeindre la cage d’escalier, ravaler l’immeuble, ou même refaire du gros dans les appartements, cela relève du propriétaire mais des locataires. En étant propriétaire de son logement, tous les frais de la copropriété sont répartis entre les propriétaires et personnes auprès de qui se plaindre. Trop souvent les anciens locataires HLM n’ont pas les moyens de faire face aux frais d’entretien de l’immeuble… c’est la faillite de la copropriété et la ruine de l’immeuble.
Ne l’appelez plus Le Pen : Marion Maréchal-Le Pen, qui avait ajouté le « Le Pen » en entrant en politique », le retire pour redevenir « Maréchal ». Le fait-elle pour repasser dans l’anonymat du privé ou pour revenir en politique sans ce nom sulfureux de son Grand-père de sa tante ? Mystère.
Une page se tourne à Paris : Le bras de fer qui opposée depuis trop longtemps la municipalité parisienne et directement la Maire, Anne Hidalgo a Marcel Campion et sa Grande roue est terminé. La Grande Roue située place de la Concorde est en cours de démontage. C’est à la fois une bonne chose, elle coupait la perspective depuis le Louvre jusqu’à la Défense avec l’alignement des Arches, et c’est dommage, elle faisait partie du paysage parisien.
Mark Zuckerberg devant le Parlement européen : Après l’affaire Cambridge Analytica, le patron de Facebook va devoir s’expliquer devant le Parlement européen. Ce qui est tordu ne se redresse pas, et Facebook n’arrêtera pas de collecter des données précisent sur ses utilisateurs (qui, quoiqu’ils en dissent) sa marchandise. Ces données seront toujours par Facebook ou récupérées de manière détournée par d’autres. Que faire ? Obliger la fermeture de Facebook… impossible et si c’est possible un autre Facebook naîtrait sur ses cendres. La seule solution, former les utilisateurs à communiquer le strict minimum sur eux, et exclusivement des données qu’ils veulent bien voir divulguées sans limite. Quoique promettent Mark Zuckerberg, ses promesses n’engagent que ceux qui les écoutent et lui continuera à faire ce qu’il veut, comme il veut !