Jour après jour, mois après mois, année après année, le patronat récupère les droits perdus par la noblesse à cause des méthodes de la révolution qui avait permis de faire voir que les serfs étaient eux aussi des êtres humains.
Mais sous couvert d’un capitalisme non dogmatique, d’un libéralisme objectif, gouvernement après gouvernement, une fois écartées les velléités d’une gauche malade d’elle même, les pauvres s’appauvrissent, la classe moyenne se réduit malgré le chagrin chaque matin, tandis que tranquillement et sûrement, les riches s’enrichissent sans aucun ruissellement sorti tout droit de l’esprit nauséabond d’un sorti tout droit d’une d’énarque.
Mais, il se passe des choses étranges a priori.
En Outre Atlantique, le clown triste a repris sa tournée car il a décidé de rester dans ce cirque qu’il a contribué à dénaturer.
Toutefois, dans le rang de ses spectateurs, il y en a qui s’inquiète, qui ne trouve pas vraiment drôle le spectacle ressassé.
Ho bien sur, leur champion a fait des exploits sur le plan économique notamment en économisant les énormes frais d’un mur qu’il n’a pas pu faire construire.
Mais, ces gens, sont les riches, les vrais riches, les ultras riches.
Ils n’en peuvent plus de ne plus pouvoir s’asseoir à une bonne table, faire la causette dans des dîners mondains fastueux sans que le chapitre pauvre ne les rejoigne en invité d’honneur.
Ho pas les super pauvres, ceux là n’en peuvent plus des largesses données par les fondations créées.
Et historiquement, ils se contentent simplement de faire l’aumône en croyant qu’un jour viendra leur tour.
Non, ceux qui les indisposent, ce sont ceux de la classe moyenne qui s’aperçoivent bien qu’au fur et à mesure que les uns s’appauvrissent, les autres s’enrichissent sans retour de bâton.
Alors qu’en France, l’Isf est honni et a disparu des radars, la-bas, les riches réclament d’être plus imposés style 2 à 3 % de leurs richesses cumulées : ils ne veulent surtout pas qu’un socialisme rampant s’invite à son tour de manège.
