C’était la journée de la femme.
Était-ce une politesse que de laisser faire la fête de Grand mère le jour d’avant ? Ou comme pour dire maintenant, c’est fini, passons à autre chose ? Ce serait tout de même bien sympa que la fête des grands pères soit de la fête.
Après tout pourquoi ne pas poursuivre par celle des pères que l’on oublie bien plus que celle des mamans.
Même si désormais, nous savons bien que maman peut être un papa et vice-versa se fera.
Il est pourtant bien étrange que quelque soit la religion observée, celle qui a fait ses légions, la femme semble être le danger pour l’homme.
Au mieux elle serait tentation pour la bête, c’est bien connue, sommeillant en chaque homme.
Pourtant ce sont bien ces religions qui se sont imposées et ont imposé la primauté de l’homme sur la femme alors que ce n’était guère le cas naguère.
Chacun avait sa tache à remplir pour que famille vive selon sa qualité physique.
Il n’y avait aucune supériorité.
Mais pour les religieux si, ils ont banni de leurs vie affective la femme, ce n’était pas pour la laisser trôner dans le domicile conjugal.
Et malgré les révolutions, la femme n’a jamais put se faire rendre justice.
Il a fallu bien du temps, en France par exemple, pour que la femme ait droit de vote, merci les suffragettes.
Un peu plus, pour pouvoir disposer de son propre compte bancaire.
Et, encore aujourd’hui, certains voudraient lui nier son droit élémentaire de disposer de son corps comme elle l’entend.
Comment un être humain peut jeter tel sort sur un autre ? Mais c’était la journée de la femme.
Souhaitons demain que ce soit la journée de l’enfant.
Qu’il n’est plus à subir la fureur des adultes.
Souhaitons que demain, ce soit celui qui est sans toi(t).
Juste avant, c’était la semaine du compliment : un compliment sincère, c’est le début de l’authenticité de l’autre.
Souviens-toi…
