Comme dans la pub, votre voisin défonce votre habitat avec son bateau.
Comme dans la pub, les artisans essaient de faire monter l’addition.
Comme dans la pub, le donneur de crédit est dans le flou.
Comme hors la pub, ne vous laissez pas faire.
Votre voisin vous cause des dommages.
Il vous doit entière réparation.
Et, pour son intérêt, il vaut mieux qu’il soit bien assuré, sinon gare à lui et à son patrimoine.
Il n’aurait plus que ses yeux pour pleurer sur sa fiche de paie grevée de ce que décidera le tribunal pour garantir le remboursement des débours.
Mais, voilà, pour pour la victime, c’est la galère.
Car même s’il n’a pas tort.
Même s’il recevra réparation de son préjudice.
Au mieux ce sera sur une longue période.
Au pire, il n’ose même pas l’envisager.
Aussi est-il bon, avant la souscription de son contrat que le choc d’un véhicule (quel qu’il soit et par forcément un véhicule terrestre à moteur) sur votre bien immobilier, causant des dommages soit bien couvert.
Cela réduira les désagréments.
Étant entendu, que ledit véhicule ne soit pas en votre possession ou garde.
Vous l’aurez deviné, le responsable est le propriétaire, ou celui qui en était le gardien, du bateau.
Encore faut-il l’identifier.
Mais, si la victime et le responsable (pas forcément coupable) sont bien assurés.
Les soucis seront moindres.
Chacun des assureurs feront leur affaire de ce qu’ils doivent pour rembourser intégralement.
La victime n’aura pas à demander de crédit.
S’il y a urgence, elle demandera une avance à son assureur.
Ce dernier devrait pouvoir lui accorder et faire jouer la subrogation ou faire le nécessaire auprès de l’autre assureur.
Cette pub, au-delà de la stupidité inventive d’équipe de marketing publicitaire, prouve s’il en est besoin, que même si l’assurance n’est pas obligatoire, elle est vraiment indispensable lorsque survient l’accident.
Attention qu’il ne soit pas trop tard.
