Perchoir donné

Il rugi, le défenseur des oiseaux et insectes qui s’est réveillé en se posant de savoir si ses enfants verront les hirondelles faire le printemps.

Pas content de voir l’autre laisser son perchoir pour s’envoler vers un futur ministériel.

Intéressante cette diatribe du genre humain relevant que les poches des pantalons féminins sont ridiculement petites sans que ces dames ne puissent y mettre quoique ce soit alors que le genre masculin, lui, croule sous les poches mises à toutes les coutures même sous les yeux.

Alors, la pauvrette est obligée de confirmer son goût pour les sacs à main ce qui la distingue d son alter ego engoncé dans ses poches.

Remarquez, moi, ça ne me gêne pas trop puisque je dépose mes besoins dans l’anse ainsi libérée ; c’est beau une équipe qui gagne.

 Vous avez tous, sans doute aucun, remarqué la difficulté d’avoir un médecin quand vous en avez besoin puisque (presque) pas un n’accepte de consulter sans prise de rendez-vous au préalable et bien entendu, bernique pour la visite à domicile.

Alors, vite fait, c’est vite dit, bien fait, direction les urgences ; pensez à prendre deux livres au cas où.

Et bien il semblerait que cette situation va finir dans dix quinze ans, le temps que les effets d’une éventuelle disparition du numerus clausus et du concours d’entrée permettant à quelques privilégiés de sortir gagnants.

Ainsi, les hordes médicinales vont envahir nos villes et campagnes se faisant concurrence pour une médecine à bas coût.

En attendant, je me suis laissé entendre dire que certains préféreraient une médecine qui apporte de vrais soins…

Et si les spécialistes arrêtaient de piquer un supplément de facturation non remboursé sauf si votre mutuelle, très chère payée, est vraiment trop bonne comme la mienne qui ne vient jamais le dimanche.

Et Outre Atlantique, tout va bien d’une trahison entre gens de bonne compagnie de droite extrême qui dit que si le chef est grand c’est d’être enfant immature…

Quitter la version mobile