Restent à terminer ceux para.
Mais, la bonne nouvelle est que l’enthousiasme vécu précédemment demeure bon enfant.
Cela permet de donner et recevoir un peu de lumière pour les handicapés dont la tendance habituelle est de les rendre invisibles.
Pourtant, les porteurs d’handicap(s) sont au moins 15 % de la totalité française.
On en fait beaucoup plus pour les LGBT pourtant à priori moins nombreux mais plus bruyants et forts de leur être si ce n’est, pour beaucoup dans leur tête.
Ce serait bien d’en faire pareil pour les autres handicapés… Mais ces jeux olympiques vont cesser.
Resteront derrière eux, la joie de ceux qui ont gagné.
Ceux dont les médailles obtenues rendront célèbres et ceux qui auront toutes les raisons d’être fiers de leur parcours : récompense d’un entraînement intensif et douloureux.
Il y aura aussi sur le terrain, les traces des habitats où ont été logés ces forçats.
Il paraît que ces logements seront réutilisés pour la plus grande utilité des mal logés.
On demande à voir… Déjà, les élites se battent pour que restent figé le grand ballon gonflable pour le plus grand plaisir de l’économie touristique.
Mais son créateur, pardon designer, semble se refuser à cette éventualité ; peut-être qu’avec quelques euros complémentaires ??? Une chose est certaine, c’est que tout ne sera pas perdu pour la patrie.
Par exemple, les voies qui étaient réservées aux pratiquants des JO resteront ouvertes aux privilégiés qui pourront respecter les conditions strictes d’emprunt.
A défaut, les contrevenants seront sanctionnés de fortes amendes grâce aux images captées par les caméras installées pour les événements dont il faut bien assurer le retour sur investissement.
A cela, s’ajoutera, sans doute vraiment aléatoire, la joie de pouvoir circuler sur le périphérique à 50km/h contre 70 actuellement.
Remarquez, lors des grands déplacements journaliers du quotidien, c’est déjà Byzance si les 30km/h sont atteints.
Bonne rentrée.