L’illuminé va être reçu par le chef patron de la secte catholique.
Sans doute va-t-il recevoir la sainte onction d’avoir privilégier les seuls riches car l’église s’occupe, elle, des pauvres.
Une question se pose est la difficulté de certain(e)s voulant se présenter aux élections, de réunir les 500 parrainages pour valider leur désir.
Il est vrai que lorsqu’une personne recueille plus de 10 % des sondages ne peut obtenir ces parrainages indispensables font connaître d’un problème démocratique.
Mais est-ce une raison de dire qu’il est scandaleux qu’un maire refuse d’être parrain ? N’est-ce pas retourner le thermomètre plutôt que de regarder ce qu’il indique ne température ? Car, un tel discours revient à dire que ce sont les seuls sondages qui gouvernent la république française.
Autant, alors supprimer les-dits parrains et se laisser porter par des sondages organisés par le privé.
Or, lorsque l’on sait comment sont effectués lesdits, on ne peut que s’inquiéter pour un futur non visible.
Un sondage dépend du panel choisi : plus il est réduit plus le résultat prête à confusion.
Ensuite, les questions induisent toujours les réponses.
Et que vaut vraiment un sondage sur des intentions qui ne prendront vraiment jour que 6, voire 10 mois plus tard ? Enfin, est-on vraiment certain de l’impartialité de celui fait le sondage ? La vraie solution incontournable est la véritable proportionnelle qui ne laisserait aucune vraie tendance d’opinion sur la touche.
Ainsi, la vraie possibilité d’avoir sur le terrain des élus capables sans rougir de parrainer une personne que d’autres pourraient considérer comme quantité négligeable.
Et donner la possibilité de s’exprimer en tribune officielle fait parfois rappeler la nécessité de ne pas être trop stupide.
Et cela vaut pour ceux qui sont déjà en place : ça les empêche de ronronner dans une sorte de pensée unique.
Et l’intelligence des prétendants est de comprendre ce qui ce dit plus clairement.
