C’est beau, un réseau social.
Je viens de me lever et ai, comme chaque matin que la semaine fait, j’ouvre mécaniquement, d’un geste machinal, mon ordi.
Et, les premiers à me souhaiter mon bon anniversaire sont deux amis, de genre différents.
De sexe, je ne sais pas ne les connaissant pas.
Ceux que je (re)connais, dorment encore tranquillement à cette heure ou vaquent à leur quotidien que fait chaque jour de la semaine venant.
La vie moderne est ainsi faite que ceux qui vous disent qu’ils se préoccupent de vous, sont si éloignés qu’il n’y a aucun risque de contamination.
Et, ils vous le font savoir d’un clic.
D’autres, ne font rien, car pour eux la petite souris doit être porteuse de monnaie qu’ils espèrent non petites car ils sont déjà grands maintenant.
Mais, la vraie vie reprend le dessus de gens éveillés qui sont vos vrais ami(e)s.
Et cela (re)chauffe le cœur de se voir confirmer un certain intérêt d’existence dans ce monde qui n’est pas que fait de brutes et d’abrutis.
Mais cela les gens d’en haut en le savent pas trop.
Eux qui sont trop habitués à vivre en haut troubles qu’ils se déguisent si bien requin que l’on se demande s’il ne s’agit pas de leur premier peau.
A propos, le bel illuminé a tenu parole.
Il avait dit, crié Brexit il faut que tu viennes.
Il avait juré leur faire prendre gorge sur un délai infini.
Et il a réussi : tout devait être fini pour juin 2019.
après bataille insensée d’émotion communicante, il a réussi à accepter un report jusqu’au 31 octobre.
Vivement la rentrée afin de savoir l’année de son application.
En attendant, les britanniques vont faire semblant de voter pour des députés européens qui feront semblant d’exercer et voter des textes dont ils ne verront pas la couleur mais continueront à nous pourrir la vie.
Espérons simplement, que nos pêcheurs des cotés-ci de la Manche sauront en tirer profit…
