On se fout de qui ?

Le premier en ministère qui n’arrête plus d’en prendre à son aise tellement il pense que sa carrière aboutie avait juré craché promis, qu’aucun impôt ne verrait le jour sous la mandature du justicier illuminé.

Et c’est ainsi que tenant sa promesse, ceux existants augmentent.

Par fois d’un tour de passe passe en étalant les demi-mesures prises, ou, et surtout, ce qui est cotisations et donc pas impôt même si au sortir du porte-monnaie, la douleur est identique de la double peine d’avoir en plus le sentiment amer de se faire arnaquer.

Il y avait eu le coup de la baisse des allocations logement en 2007, il y aura maintenant celui de la non revalorisation des mêmes allocations tout à fait légitimes puisque prévue en catimini dans un obscur article d’alinéa bien posé.

Et tant pis si les plus démunis le seront encore un peu plus puisque promesse est tenue car il ne s’agit pas d’une baisse mais d’une non augmentation.

Malin le singe du Nord qui a plus d’un tour dans son sac.

Du coup sur 2018, et les années futures, 10 heureux euros d’économisés sur cette masse de pognon donnée n’importe comment sans permettre à ceux qui touchent de toucher le bout du tunnel qu’ils ne voient pas.

A l’instar pour obtenir une baisse du chômage, il faut licencier, pour inciter les pauvres à ne plus l’être, il faut leur retirer leur dignité.

Ça marche pour ces nantis de l’illuminé qui se la coule douce dans sa piscine nécessairement utile car un bon bain après avoir pataugé dans une vaisselle en or fait revivre de bien bonnes réalités qu’il faut savoir raison garder.

Maintenant, l’on peut toujours se poser la question du niveau de compréhension des gugusses élus de ce qu’ils sot appelés à voter.

Pour l’imbécile crétin qui a fait cette belle remarque, l’on penses savoir que le cours du suivi de sa rémunération par rapport l’inflation n’est pas une augmentation mais uniquement un réajustement…