On nous le dit bien

Marre de voir Final Four indiqué pour ces matches de foot amicaux transformés en une espèce de coupe nouvellement venue.

Mais il faut bien que l’argent rentre dans les fédérations d’un sport business pour ne pas dire d’affaires afin de rester en semblant de mode.

Et que dire de « Petite séquence inside » venant de journalistes qui de tant en temps font semblant de prendre la défense de la langue de molière dont ils ne se rappellent pas le nom propre.

Au fait, à propos, comme ça, si un pays devait croire pouvoir se passer d’hymne national car trop exclusif, frontières à moi, il aurait droit de jouer à l’internationale comme les autres moutons ?  Tiens ce soir, entre nos deux frontaliers, il y a Shakiri qui pleure… Le joueur d’en face sera-t-il assez courtois pour laisser entrer le ballon ? Les petits suisses jouent les grands et dépassent leurs adversaires qui s’effritent.

Vraiment, cette nouveauté sportive commence à bien plaire de voir les faux premiers devenir de vrais derniers et les présumés vaincus vaincre dignement du haut de leur qualité.

Intéressante cette pub vantant l’Intelligence Artificielle, d’un côté elle vante l’exploit de permettre l’accroissement de la production agricole dans un monde qui consomme déjà de trop pour la planète, de l’autre la recherche dans l’espoir futur de faire voir ce qui ne peut être entendus pour les durs de la feuille dont je suis.

Horrible aveux en forme de lapsus des priorités opérées par l’entreprise lucrative concernée.

Amusant la courbe des délices de l’institut des politiques publiques d’informer que les belles classes moyennes sont gagnantes de 0,8% en pouvoir d’achat, alors que les modestes le sont plus encore avec -0,5% voire quelques -0,8% pour les plus gagnants tout de même mieux vernis que  les plus aisé perdant près de 0,9% alors que leurs amis voisins, dans la courbe, très très riche se gavent avec un joli +6%.

Et pourtant, c’est la loi du nombre, au niveau national le pouvoir d’achat a augmenté de 1,6% et ce n’est certainement pas la faute de ceux, il était temps, ont bénéficier de la revalorisation du minimum vieillesse leur permettant de s’acheter une baguette supplémentaire ni, comme promis, juré craché, l’ensemble des autres retraités qui ont sorti de leurs poches trouées entre 1 et 3,3% de pouvoir d’achat ; merci qui ???