Objectif 2030 : un monde sans extrême pauvreté de Najat Vallaud-Belkacem chez Librio

Librio nous propose, de Najat Vallaud-Belkacem, Objectif 2030 : un monde sans extrême pauvreté.

Ministre des droits des femmes en 2012, puis ministre de l’éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche en 2014, Najat Vallaud-Belkacem est aujourd’hui directrice France de ONE, l’ONG de lutte contre l’extrême pauvreté et les maladies évitables.

Chacun d’entre nous a intérêt à vivre dans un monde sûr, où la richesse est justement répartie. Nous pourrions y être. Nous n’y sommes pas. Nous avons les moyens d’y être dans dix ans, nous n’en prenons pas le chemin. L’aide au développement est aujourd’hui notre unique instrument de redistribution planétaire des ressources publiques. Mérite-t-elle les critiques, les caricatures, les procès en inefficacité, gaspillage, détournement, assistanat, néocolonialisme et j’en passe ? Qu’attend-on pour aider les Français à y voir plus clair, pour pousser les gouvernements à revoir leurs ambitions à la hausse ?

Tels sont les questions que nous pose que se pose Najat Vallaud-Belkacem, qui semble – au fil des pages – à la fois pousser à la réflexion et nous donner mauvaise conscience si on ne fait rien.

L’auteure ne se contente pas de théories, de chiffres abstraits, elle parle de la réalité, met à mal des idées reçues, tel que « On dépense dans des pays lointains l’argent qui devrait servir à lutter contre la pauvreté chez nous » et avances solutions concrètes.

Il ne s’agit pas d’idées à mettre en oeuvre dans 100 ans, mais pratiquement demain, 2030 c’est dans moins de 10 ans.

A lire, surtout aujourd’hui avec la crise sanitaire de la Covid-19, qui nous montre que notre monde est bien fragile et que la solidarité internationale pourrait être la piste pour lutter contre la pauvreté dans le monde et de rendre – globalement – le monde mieux préparer à de prochaines catastrophes.

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