En fait, des masques, il y en avait. Beaucoup de trop, ils étaient partout dans les entrepôts et peut-être chez-vous.
Les stocks ne sont pas au point mort ; que faut-il en faire ? Surtout, surtout, inutile pour vous en débarrasser les jeter n’importe où sur les trottoirs, dans les rues, les campagnes, les parcs, mettez les usagés isolés dans un sac plastique soigneusement fermé et déposé religieusement dans une poubelle.
Ainsi, ils auront plus de chances d’être définitivement éliminés et le trop de substance virale avec, plutôt que dans la nature urbaine ou autre où ils s’éteindront au bout de quelques siècles.
L’on pourra que, et aussi mais, toujours est-il que les grandes manifestations internationales dirigées principalement contre le racisme dans la police et en particulier Outre Atlantique a eu raison de la police de la ville de la-bas qui sera reconfigurée et de certaines pratiques bien usuelles de chez nous ; même si ici, il n’est pas question de penser qu’il s’agissait d’un problème global, non plutôt de certains des forces de l’ordre.
Bien sur, certains dans leurs rangs se demandent bien comment ils vont faire si désormais ils n’ont plus le droit d’étrangler.
Ce qui, au passage, en dit long sur une certaine vérité de terrain.
Mais, il faut bien comprendre que rien de cela n’aurait été possible si l’indignation internationale n’avait pas été.
Merci, encore merci, notamment aux familles qui n’ont pas voulu que soit tu ces (mé)faits.
Maintenant, cela ne justifie en aucun cas, les exactions commises par des intéressés de trafic en tout genre qui ont intérêt au chaos dans les forces de l’ordre.
Pour ma part, je suis persuadé qu’avec le temps, si le discours du premier d’entre eux est suivi d’effets, les forces de l’ordre retrouveront la sympathie des citoyens même s’ils disent qu’ils aiment leur police.
