Helléniste et latiniste, Jean-Claude Belfiore est professeur de Lettres. Il a publié notamment chez Larousse le Dictionnaire de mythologie grecque et romaine et le Dictionnaire des croyances et symboles de l’Antiquité.
Le précédent, « La mythologie expliquée par la peinture de Gérard Denizeau », met en avant des tableaux superbement reproduits en couleur et la Mythologie est le fil directeur, nous faisant voyager au sein de superbes œuvres d’art.
Avec « La Mythologie pour ceux qui ont tout oublié de Jean-Claude Belfiore », l’approche est différente, c’est un ouvrage sur… la Mythologie, il y a quelques reproductions en N & B, l’image n’est pas l’objet, le fond de cet ouvrage est le texte.
L’objet de l’auteur est véritablement de nous entraîner dans la Mythologie, de rappeler ou de nous apprendre, de manière détaillée la Mythologie. En répondant à des questions telle que Pourquoi Thésée a-t-il tué le Minotaure ? La guerre de Troie a-t-elle eu lieu ? Dans quelles circonstances le dieu nordique Thor est-il mort Quels étaient les pouvoirs d’Ishtar ? Comment Izanagi et Izanami ont-ils créé le Japon ? Pour quelles raisons Bouddha est-il aussi vénéré ?
En plus de 550 pages, l’auteur aborde – me semble-t-il – tous les domaines de la Mythologie. De l’Europe à l’Asie, de l’Afrique à l’Océanie, l’auteur nous fait découvrir à travers ce panorama complet, enrichi de dessins humoristiques et de légendes devenues cultes, les richesses des mythologies du monde, le destin extraordinaire de ses héros et quelques-uns des textes les plus emblématiques. Qu’il s’agisse des aventures des dieux nordiques, des créatures fabuleuses de la mythologie grecque et latine, de la création de la Terre et du Ciel en Inde ou des grandes œuvres fondatrices telle que l’Odyssée ou le Ramayana, les mythes du monde entier dévoilent ici leur pouvoir enchanteur.
Au fil des pages, l’auteur nous propose des encarts, pour résumer, faire un point sur un personnage, une situation, répondre à une question ponctuelle…
À découvrir de manière linéaire de la première la dernière page, ou bien en papillonnant et en s’arrêtant dès des titres qui nous interpellent (l’approche que je privilégie dans « La Mythologie pour ceux qui ont tout oublié »).
Pour vous procurer « La Mythologie pour ceux qui ont tout oublié », cliquer ICI