Misère du monde
Plus de 240 morts en pays des pyramides où plus de siècles encore contemplent nos erreurs non comprises du passé.
Les fous de machin chose débilitant ne sachant pas lire organisent leurs festivités pour l’annonce tant attendue de vierges qu’ils ne sauront consommer.
Mais très certainement qu’une fois arrivés à leur spectacle espéré, ils se feront rire au nez par de charmantes jeunes filles libérées pas nées de la dernière pluie.
Ces dernières auront bien été enseignées par père et mère bien attentionnés ; ainsi subiront-ils la peine suprême.
Mais voilà nous somme encore en bas de ces belles œuvres du lointain édifiées à la sueur et la mort de tant de manœuvres oubliés.
Et voilà que ce n’est qu’esprit revanchard non pas seulement des familles touchées, ce qui semble bien normal et humain, mais d’un état qui retrouve à l’occasion sa véritable nature autoritaire.
Et pourtant il avait été prévenu que cette frange religieuse serait une cible pour devenir proie.
Les forces de sécurité venues en force n’ont pu rien y faire, l’on peut se demander qu’elles étaient leurs prières.
Et dans notre petit 15° d’une capitale laborieuse, un tigre d’un cirque qui se voyait ouvert pour la saison d’hiver festive de Noêl, s’est échappé pour se dégourdir les papattes en rond d’un faux gros minet qu’il est.
Et le propriétaire a cru bien faire de tirer dans le tas s’attirant ainsi les foudres de la fondation qui a bon dos de repartir en guerre jamais lassée contre les jeux du cirque.
Pourtant une question se pose, pourquoi des balles réelles, n’aurai-t-il pu simplement endormir le beau pour qu’il reste vivant sur cette terre et faire peur virtuellement aux petits et grands ? Attendons que les insoumis s’organisent en se trouvant un chef qui les guidera vers l’objectif suprême.