Merci, Monsieur le juge de Gérard Vincent chez Le texte Vivant

C’est ma conjointe qui me l’a conseillé, une de ses connaissances a commis ce petit livre au titre accrocheur Merci Monsieur le Juge.

Mais la quatrième de couverture vous avertit et le contenu ne ment pas.

La dernière fois où j’ai reçu d’un style d’écriture un tel choc, c’est lors des lectures des San Antonio.

Mais, ici, il ne semble pas que ce soit une quelconque invention sauf le langage qui se veut plutôt fleuri sans être à Mérogis.

Plutôt un système de vie qui lui colle et lui va comme un gant.

Heureusement que l’éditeur a pensé, en bas de page, à traduire les mots et expressions qui ne sont pas tout à fait le langage quotidien de tous, ni même du patois.

Mais, simplement la manière de s’exprimer des gens qui sont d’ailleurs, ont décidé de vivre autrement sans être voyageur.

Vous verrez, une fois passé la surprise, vous vous y habituerez très vite, dur après cela de s’arrêter.

L’histoire ne semblerait pas banal pour ceux qui ne fréquentent pas le judiciaire.

Mais les autres savent que la justice a autant de mystères que de lenteur.

C’est dire l’aventure humaine de s’y trouver mêlé.

Et, bien entendu, si l’on est déjà, à injuste titre qualifié de malfrat, il semble normal pour le système d’en face que crime humain il y aura.

Le juge d’instruction premier dans le genre, décidera qu’il en est ainsi sans vérifier qui, et quoi, que ce soit et faire valoir son caractériel.

Tout le monde connaît ses délires croissants.

Tout le monde le sait.

Mais la justice est une grande muette.

Alors un malfrat innocent ne peut être.

Sauf si …A vous de lire pour savoir ce qu’il en est…de cette histoire vécue, donc vraie, qu’aucun roman, même noir aurait pu imaginer.

Merci Monsieur le non malfrat…

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