Manger à sa faim demeure une fin en soi

Il est, paraît-il, suite à une enquête sérieuse menée par l’Insee et relayée par certains médias de dire que 20 % des français ne mangent pas tous les jours 3 repas faute de moyens.

Mais, dans le même temps, celui qui relativise, reconnaît qu’1 français sur cinq est dans ce cas.

Vous ne trouvez pas, vous, qu’il exagère ?? Et revoilà nous amis rois des frites qui se prennent encore le chignon et vont devoir se passer d’un 1er ministre qui a tirer sa révérence auprès du royal.

Bonnes fêtes garanties à ce dernier.

Notre Dame à nous d’extrême, dont je parle beaucoup en ce moment, ne s’y intéresse pas vraiment car elle a beaucoup à faire avec les guignols qui nous gouvernent et pourtant l’un des premiers d’entre eux s’en est retourné voir les canuts.

Ce qui aurait du calmer tout le monde.

100€/mois de revalorisation sur deux ans, c’est considérable pour la ministre actuellement en service ; peut-être devrait-elle employer autre chose comme qualitatif, elle qui touche grosso-modo 12 000€ plus les à côté de son poste qui devraient lui permettre de s’autoriser à considérer cette somme comme une solde d’argent de poche.

Celui qui est assez comédien pour avoir roulé beaucoup de monde dans la farine, électrisé un temps un électorat prés à l’écouter, affirme qu’avant l’on pouvait être un jeune pauvre et vivre néanmoins heureux.

C’est sans doute pour cela qu’il n’a jamais chercher à l’être.

Mais, il est vrai qu’avant, c’était franchement mieux avant mon colon, il y avait toujours l’espoir d’un meilleur futur.

Aujourd’hui, les escaliers sont aussi insalubres que l’ascenseur  social faute d’avoir été entretenus.

Il n’y a donc plus d’espoir de moins voir du noir, juste la possibilité en cherchant bien, de trouver celui qui pourra servir d’exemple pour culpabiliser ceux rester sur-place en bas de l’échelle attendant que l’automne n’arrive : on ne sait jamais.