Mais que fait donc la police ?

Bien sur, l’illuminé qui a réussi à remporter la majorité sur une erreur de duperie, ne peut être tenu pour coupable des agissements de ses assistants, salariés et autres mis à son service, s’il n’a pas ou fait demander les dits.

Et ce n’est que manœuvre politicienne que de vouloir faire croire au contraire.

Mais, pas d’erreur, c’est le retour d’ascenseur  non social d’un vote basé sur le mensonge.

C’est la réponse du berger à la bergère d’une promesse qui ne peut pas que plaire à ceux qui y croient.

Mais dans tous les cas, il est responsable des actes de ses salariés comme tout chef d’entreprise l’est des siens.

Et cela devient encore plus grave, lorsque l’on fait comme si rien n’était passé, et que l’on continue comme avant qui forcément n’était pas mieux.

Le monsieur veut que clarté soit faite en cette pénombre des coulisses de pouvoir ayant tendance à devenir Le Pouvoir afin d’exécuter ses propres croyances unilatéralement.

Alors qu’il commence le premier à agir clairement au lieu de se planquer derrière son statut jupitérien.

Mais qu’il m’explique en toute luminosité de quel droit est sorti la possibilité pour les invités des forces de l’ordre de frapper sur ses concitoyens sans prévenir « aux gendarmes » ?

Tout individu a le droit d’appréhender un délinquant pris sur le fait de sa délinquance, mais celui de profiter de sa force de gauche ou de droite, en a-t-il le droit ?

J’avoue à commencer à en avoir marre de ces abonnements annuels journalistiques qui à Noël, vous donne le droit d’une quinzaine pour éviter l’envoi d’une deuxième semaine, idem pour le 14 juillet et si par malheur vous partez en vacances quelques semaines, vous ne recevez pas car la modification d’adresse n’a pas été enregistrée, est trop tardive, celle communiquée est fautive et, rentré chez soi, au mieux un pile vous attend pour rattraper un retard d’info fautif ou il n’y a rien à vous mettre sous la dent ; attendez le suivant.