Les promesses n’engagent que ceux qui y croient. A l’époque lancée, la parité n’était pas de rigueur ; mais, mesdames vous n’y échappez pas non plus.
La première fortune de France en fait sienne cette devise.
L’un qui espérait se faire reprendre a bas prix étant donné sa déconfiture, se considère marron comme gros Jean.
Il est pas content.
Une bagarre judiciaire à l’américaine va s’engager.
Les grands ont toujours aimé le poker menteur doublé d’un bon Monopoly.
Dans les faits réels, l’argentier renonce aux bijoux.
Espérons qu’il n’y aura pas de clash familial d’une promesse mal tenue.
Mais, dans les différentes salles de jeu aux tapis pas toujours si verts chez le voisin, un autre se distincte également en refusant de croire que ce soit lui qui ait signé un accord.
L’alerte est donnée par le patron du Conseil scientifique.
Déjà, en hors-d’œuvre, l’un de ses membres s’était fortement inquiété de la forte promiscuité dans les transports en commun en demandant le respect des gestes barrière en plus du masque qui du coup ne sert plus vraiment à grand-chose.
Bien entendu, par là, il évoquait le 1m50 de distanciation physique, géographique mais pas sociale.
Le patron dit lui que le gouvernement se doit de prendre des mesures douloureuses mais avec certaines bonnes compensations.
Il parlait lui du confinement obligatoire totale des « virussés ».
pour mieux le faire passer et respecter, il est proposé de réduire la quatorzaine à 7 jours voire 5 puisque désormais il est prouvé que c’est dans cette zone précise que le virus peut montrer de quoi il est capable.
A 74 %, les cadres se disent confiants dans leur entreprise.
Sans doute seront-ils prêts, le cas échéant, à prendre le relais de leurs équipes s’il fallait alléger le navire ou réduire la voilure.
Mais, pourquoi donc ne participent-ils pas activement à la reprise économique en dépensant plus ?
