Un véritable tour de force commerciale. L’audace avait fait l’achat d’une voiture chez un de ces mandataires qui ne vous refuse rien.
Tout est nikel.
La livraison a domicile se fait sans avoir rien à reprocher.
Toutefois, à l’essai le constat est l’absence d’une option qui avait pourtant retenu l’achat.
Information en a été faite tout de suite.
Mais la réponse a été directe comme un robot parlant à un apprenti.
La synthèse était que si l’option était aussi vitale, il fallait retourner le véhicule et en prendre un autre.
Ou alors, le conserver et voir auprès du commercial ce qu’il en était puisque sur le bon de commande point d’option indiquée.
Petit souci autre : le commercial étant parti, temps de vacances, il fallait attendre son retour qui s’est retardé à cause d’une sombre histoire de pandémie engageant une mise à l’écart pour un éventuel retour.
Mais, en attendant, l’interlocuteur froid qui se prend sans doute pour le champion de l’objectivité et le disciple de Descartes avant de passer maître recontacte l’indélicat client qui ose insister.
Comme une carte en mains qu’il croit atout maître il invoque un soi-disant un reliquat restant à charge…du client bien entendu.
Ce type est vrai magicien, il arrive d’une réclamation fondée à transformer l’essai d’une dette restant à régler.
Bien sur, cela n’ira pas plus loin sauf faire croire que la réclamation ne peut être entendue.
A bon entendeur salut.
Mais scoop de bon après-midi, un appel de la personne qui me confirme l’acceptation de la prise en charge si l’option peut être installée.
Sinon, l’engagement est donné pour un geste commercial à hauteur.
Oui, je sais, les promesses n’engagent que ceux qui y croient, mais comme j’ai la confirmation écrite je peux penser ce que je veux.
A suivre donc dans une autre chronique….
