Le Messi ancien est arrivé

Ce n’était pas une vanne même si Messi en a pris un mais pas en Bretagne. Il est arrivé comme la fumée blanche en tee-shirt blanc maculé.

Devant une fenêtre ouverte, comme un autre sur son balcon, il a fait onction de son bras tatoué et la foule s’est acclamée :  « Messi est là, Messi est là ».

Il va faire triplette avec ses équipiers déjà en place avec un bambin bien plus jeûne.

Est-ce que la marseillaise, pardon, la mayonnaise prendra ? Tout le monde l’espère car sinon la coupe serait pleine.

Qui vivra verra.

Mais prudence, si l’homme est en ligue1 c’est parce que la capitale Paris est en France ; sinon ce serait ailleurs du moment que le blé prospère.

Vu la garde rapprochée dont cet individu est honoré, souhaitons qu’il pourra en déduire les frais de ses impôts.

Mais, non c’est déjà fait.

En effet, pour ces stars, l’État accepte volontiers de prendre en charge puisque forcément ruissellement pour l’Émir il y aura.

Pour les manifestations, l’État accepte volontiers la charge à coups de canon sabre au clair.

Merci Messi Mais si.

Avant de rentrer dans l’histoire, du foot pas la grande nationale, il devra satisfaire à la seule visite médicale qui confirmera s’il peut recevoir la galette avec les miettes qui vont avec.

Le monde, du moins urbain parisien de la stratosphère parc des princes, tremble de savoir si la divinité fera son versement dans un tube cristallin ou si l’émotion l’en empêchera.

Je n’avais pas remarqué.

Savez-vous que désormais les salaires chargés des trois supers joueurs, dont notre gamin à nous qui vieillit cependant, constituant la coupole sacrée cette aventure, sont supérieurs à n’importe quel autre budget global des autres équipes de foot de la ligue1.

Mais mon voisin de pas de palier puisque nous sommes en pavillon, m’a fait remarquer qu’il y a plein de gens de couleur, jusqu’à noire même, dans notre ville.

Effectivement, il y en a plein dans les pots publicitaires.

Et pour la bonne histoire qu’elle est belle, ils sont gras et dodus comme le français moyen.

Parfois beau et fort et là on ne comprend pas la volonté de comparaison.

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