Le fauve est laché

Rugy rugit tel un fauve en cage de faire croire à sa grande colère noire. L’essentiel pour lui est que ses amis de son ancien clan l’est dédouané de l’essentiel de ses repas d’affaires nationales sans avoir à regarder de plus près ce qu’il y a avait dans les assiettes.

Il est vrai qu’étant donné la qualité des mets, aucun reste ne restaient.

Difficile alors d’en décliner la réalité d’autant plus que les amis contrôleurs n’y étaient pas invités puisqu’il ne s’agissait pas de dîners de copains.

Mais eux, ceux qui y étaient déclarent le côté très informel plus tôt destiné à passé du bon temps dans ce cercle intime quoique plus mondain qu’un vulgaire club de rencontres ou réseau social ouvert à tout vent.

Et il semble que si les invités réellement présents contre-disent les contrôleurs qui n’étaient pas présents, qui doit on croire vraiment ? Ceux qui n’y étaient pas mais espèrent pouvoir en être en récompense de leurs bons et loyaux services ou ceux qui en étaient mais désespérés d’apprendre qu’ils ne seront plus dans le coup et préfèrent cracher le morceau avant l’indigestion ? Mais, c’est comme la cueillette des témoignages d’un accident, l’on sent bien ce que vaut les dires de ceux qui disent qu’ils ont vu mais pas la même chose que l’autre présent qui a observé autre chose.

L’objectivité n’a jamais été la clairvoyance de ceux qui ont assisté, il est donc normal que toute subjectivité soit levée à l’aube des déclarations faites par les parties sérieuses en présence.

De toute façon, le journal de la toile d’investigation ressurgit avec les photos et les témoignages des présents.

Une question se pose, la présence d’une ado dans ces agapes est-elle bien en lien avec une communication d’une chambre représentative ? Oui, si l’on en croit ceux qui ont reçu la défenseure du climat en colère contre ses pères et mères qui ont largement vécu au-delà de leurs moyens.

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