Le droit c’est quand on veut..ou pas

Le droit à l’électricité est un droit pour tous. C’est sans doute pour s’assurer qu’il en est ainsi que ce qui reste encore compagnie publique pose systématiquement des compteurs Linky qui vérifient en temps réel la bonne utilisation de fée électrique.

Il est donc incompréhensible pour cet opérateur que quelques besogneux n’en veulent sous prétexte fallacieux d’ondes portées empêchant un bon sommeil réparateur dans le meilleur des cas.

Ainsi donc une femme bouchée, prône de vivre dans le noir en obligeant sa fillette à disposer elle-même de son temps de cerveau libre puisqu’elle ne peut plus regarder ses émissions préférées.

On aura tout vu, c’est de la régression, à quand le (rétro)pédalage pour puiser soi-même son énergie ? Ouf, l’on craignait qu’après ses 2,5 millions d’exemplaires vendus à travers le monde, cet économiste farfelu osant défier le capital moribond ne devienne le gourou de l’économie politique.

L’on craignait que le mouvement ne s’accélère et que personne ne pourrait plus arrêter cet homme en marche forcée vers on destin.

Mais c’était sans compter le retour de valeureux chevaliers sans peur et sans reproche puisqu’ils sont de la droite dure venir au secours du veau d’or pour qu’il continue encore ses profits sans craindre de la lamentable augmentation des inégalités qui s’étend plus vite qu’un tsunami.

Faut-il craindre les foudres et les tornades de la foule en colère pour que les élites comprennent ? Les étrangers s’installant ici sont maintenant plus instruits que ceux arrivés hier.

Avant, ils nous prenaient nos épiceries et boulangeries, à ce jour, ils vont nous prennent les hôpitaux.

A quand les écoles publiques ? La loi républicaine veut qu’un temps de parole soit donné proportionnellement au poids d’un parti ou groupe sur les bancs de l’assemblée nationale.

Aussi, est-il logique que la parricide qui se prend pour la madone chassant les mauvais migrants en soit exclue.

Mais, comme les autres de son espèce non en voie de disparition, elle entend ne pas respecter ce qui ne lui va pas.

Pour la faire taire, un élu en marche stoppe son désir de se faire entendre en lui donnant son temps de parole.

Ainsi la tata pourra cracher son venin tout en affirmant qu’on lui met le bâillon sur la bouche alors que d’autres l’ont devant les yeux…

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