La ministre des transports n’est pas bornée, elle laisse son secrétaire d’état descendre au charbon.
Il n’a rien décidé.
A lui d’exécuter.
Une vieille rengaine en forme de litote qui va faire marronnier comme avant.
Dans l’hommage Tour Eiffel rendu pour ce que l’on a découvert en petites mains, il est frappant de voir que pour infirmiers un portrait de femme était affichée.
Mais pour celui d’une caissière pas d’homme à l’horizon.
La question du déconfinement pose la question de la vague attende : allons-nous avoir droit à une vaguelette ou un tsunami ? Le confinement se détend, la reprise économique reprend son train d’activités coutumières.
Je viens d’être contacté par une travailleuse en télétravail pour me proposer une solution qu’elle est bien bonne celle-la.
Le masque non obligatoire le devient.
Insupportable, mais il faudra bien le supporter.
Maintenant j’ai un dilemme.
Pour une journée de travail, transport compris, combien de masques faut-il par jour sachant qu’il dure 4 heures et qu’une fois mis en bouche on ne peut le retirer- donc le conserver en voiture n’est pas aussi stupide que cela ? Au moins trois, mon capitaine, si les heures supplémentaires ne sont pas encore de mise.
Étant donné les difficultés pour se munir de cette denrée encore plus rare que les sous sur mon compte bancaire, voire leur coût qui augment le trou en fin de mois, il me faut les laver à 60° si j’ai eu la sagesse d’avoir la chance d’en trouver de lavables sinon à l’usage ce sera encore plus cher.
Or mon fournisseur me dit que pour économiser l’énergie, et donc mes sous d’euro, qu’il faut se servir de la machine à 30°.
qui donc va me payer cet excès de baisse de pouvoir d’achat qui me fait renoncer à la relance de mon pays.