D’un reportage au fin fond de l’Afrique, un journaliste demande à un petit enfant noir ce qu’il voudrait être plus tard. La réponse ne se fait pas attendre : « plus tard, je voudrais être blanc ».
Où l’on voit qu’à l’aube 2020, il y a du chemin à faire sur cette très longue route de l’égalité.
Peut-être faudrait-il déjà mettre cela dans la légalité… En attendant, l’on peut dire merci à notre illuminé qui nous a (ré)appris l’utilité des luttes des petits contre ceux qui ont le pouvoir.
Ces derniers ne comprennent que le rapport de force tant ils l’ont employé pour rejoindre les rangs des premiers de cordée.
Ils veulent, tour à tour laisser une place de ce qu’ils appellent la grande Histoire, c’est-à-dire ce qui permet de faire le beau dans les les beaux salons à dîner.
Regardez, les gilets jaunes ont réussi à obtenir ce qu’ils ne voulaient pas lâcher.
Il a fallu qu’ils soient un peu rudoyer pour revenir à de meilleures intentions.
Regardez leur réforme des retraites qui désormais ne versent plus de pension.
Ils étaient fiers d’annoncer un système universel dont la majorité des salariés et indépendants se foutaient pourvus qu’ils ne soient pas mis dans le seau des oubliés.
Un peu de grève sur les quais pour empêcher le petit peuple d’être sur les plages et le gouvernement revient sur ce qui était impossible naguère : Forces armées, d’ordre ou pas, routiers, pilotes de ligne et hôtesses stewards de l’air, enseignants, marins, avocats, et même en partie ceux de la Sncf et Ratp ont eu droit à leur exception qui confirme la règle seulement maintenue pourceux qui n’ont pas fait grève ou pris le temps de visiter leur centre ville à pieds accompagnés de leurs bons copains de chagrin.
Alors, ceux qui hésitaient, avez-vous compris le langage sectaire du pouvoir ?
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