D’une étude forcément sérieuse puisque réalisée conjointement avec un grande école politique, il en résulte que les gens d’extrême gauche et d’extrême droite se réunissent dans la même détestation de la société.
Ah bon, la pratique de la vie quotidienne ne suffisait donc pas.
Mais c’est nettement plus sérieux lorsque c’est démontré scientifiquement.
Il est rappelé également, ce qui fait froid dans le dos à cause des sueurs ruisselantes, que plus les risques sont le fait de l’homme mais aux travers économiques moins ils croient aux institutions sensées les protéger.
Ces gens dont une grande partie majoritaire s’enferment dans des partis populistes, des noms, nous voulons des noms, n’ont pas confiance dans leur famille, leurs voisins, des homosexuels (!) et des immigrés.
Vous avez beau tenter leur expliquer, ils seront toujours capable de vous annoncer que leur dieu existe bien même si n’est que par le malfait de leur entière volonté.
Il es intéressant ce témoignage d’une des figures initiales des gilets jaunes qui voulaient porter leur chagrin sans porte drapeaux dont ils se méfiaient tout en sachant qu’à mille dans une pièce l’on ne peut rien construire juste peut-être un peu dire pour les grandes gueules, ceux qui osent et tout d’un coup deviennent porte-paroles bons à jeter avec l’eau du bassin.
Elle était l’exemple type de ce mouvement, mais peut-être un peu trop fortuné avec ses 1 189€/mois, pour 9 jours travaillés sur 7, pour élever/éduquer mais surtout faire manger ses enfants, louer son pas chez elle à elle.
Elle avait dit à l’illuminé d’un courrier, croit-elle, non lu ce qui expliquerait la non réponse, qu’elle gagnerait mieux sa vie à être au chômage.
Ce qui explique pourtant la volonté des grands à faire baisser drastiquement les indemnités chômage car il n’est pas question de faire grimper les salaires pour déplaire aux actionnaires.
