Chacun aimerait croire que la pandémie a fait comprendre l’utile à nous êtres humains jusque là futiles.
Mais, ce serait, une habitude de marronnier en quelque sorte, n’avoir reçu aucune leçon des épreuves du passé.
Est-ce que les choses ont radicalement changé après les guerres, les séismes, les épidémies antérieures nettement plus dévastatrices ? Pourtant la solidarité s’est élevée avec la même rigueur, la même volonté, la même compassion, la même solidarité, la même humanité.
Pourtant, les nouveaux riches, ceux qui en ont profité pour sortir la bonne aubaine, se rappelant sans doute une certaine bonne ministre dire que c’était le moment non pas de se taire mais de faire de bonnes affaires financières, feront en sorte de conservant leur trésor acquis de mauvaise conscience sans doute et c’est bien pour cela qu’ils n’ont jamais voulu s’en défaire aider par les anciens riches qui s’en sont sauver de leurs terres pour rejoindre leur petit pied à terre.
Jamais, l’être humain n’a accepté de stopper la loi de Marlow qui veut qu’une fois une étape de besoin satisfaite, il faut franchir l’autre et ainsi de suite.
Seul celui qui est au bout de son sommet sait ma nécessité d’empêcher l’autre d’y arriver, n’est pas premier de cordée qui veut.
Alors ils institueront des règles protectrices de leurs avoirs en trompe l’œil de la sécurité citoyenne.
C’est un peu beaucoup, certain, comme ces caïds qui imposent une loi d’airain de tranquillité dans leur quartier devenu tout d’un coup de fusil, un havre de paix où le vendeur vend, l’acheteur paye, le veilleur averti de l’arrivée des forces de l’ordre prévenus.
Des maires continueront à installer des caméras de surveillance sans mettre derrière les écrans le personnel suffisant et formé.
C’est une chose que de se faire élire, c’est bien plus dur que de rester en haut à l’air libre.
