Le capitaine tronçonneuse, devant la levée de boucliers vis-à-vis de son jusqu’au boutisme de guerrier défricheur de ce qui n’a jamais été le poumon de la planète puisque les eaux arrivent en premières, annonce, tranchant ainsi avec son ton sec habituel, une tolérance zéro devant ceux qui pensaient faire ce qu’il avait rêvé.
En bon bonhomme d’extrême droite dure, il fait appel à l’armée qui l’avait pourtant prévenu que le défrichage allait jeter ses feux comme chaque année à la même époque.
Mettre l’armée en avant c’est aussi confirmer qui est le chef des territoires et un avertissement à ceux qui voudraient trop s’en occuper.
Voilà les pays industriels prévenus de la gravité de la situation occasionnée, au minimum, par un laxisme dans des propos présidentiels qui font, même, voir rouge à l’auguste clown triste qui se croyait seul dans son cirque.
En parlant de ce dernier, les bons pays européens ont défendu le vin de France en disant pas touche sinon ce serait la guerre des prix.
Et pour l’Allemagne ce n’est pas de la petite bière.
Sinon, tout va bien, le jeu des 7 familles internationales permet le rencontre des milliers de gens dans un débat où s’invitent quelques casseurs histoire de faire parler d’eux et de prouver les qualités sécuritaires de notre bonne police française.
Ce n’est pas comme dans les haut d’Afrique où un ministre a du démissionner pour une malheureuse bousculade heurtée.
Les milliardaires ont trop d’argent, alors il s’ennuient à mourir même si certains veulent se croire immortels.
Alors, bonnes gens, ils appliquent la théorie si chère à notre illuminé.
Pour ruisseler, ils ruissellent de toute leur sueur sur les corps de jeunes imberbes rabattues par d’aussi riches qu’eux en quête d’amour absolu que leur enfance ne leur a pas donné.
Ces gens la se croient tout permis, ils peuvent tout.
Après tout ce ne sont pas des saints…
