Un ancien ministre de l’éducation fait la leçon pour proposer sa solution de reprise scolaire pour les petits puisque la décision est prise de le faire – et pas à cheval.
Il suffit de dire que la reprise pour les grands, collèges et lycée ne se fasse pas et que les locaux libres soient occupés par ces petits que l’on ne veut pas mettre à plus de 15 dans une salle de classe.
Il dit également que si l’on est néo-libéral en économie, on ne peut l’être en éducation.
Mais c’est aussi vrai socialement parlant et faisant.
Pourtant je ne comprends pas le néo car le libéral suffit largement à sa peine dont la dame prend toute sa mesure pour faire appliquer une politique d’extrême droite.
Les nantis bobos libéraux commencent à tirer à boulets rouges sur les aides gouvernementales notamment celles concernant le chômage partiel eux qui bénéficient de leurs hauts revenus à 100 %.
Commenceraient-elles, ces braves personnes à craindre d’être obligées de rejoindre ces bataillons obligés de vivre avec, au maximum, 86 % de leur salaire trop petit pour pouvoir sécuriser un avenir en plaçant le trop perçu.
C’est cela leur esprit solidaire dont ils clament l’importance à faire pour les autres.
Mais une mesure a été prise par ce gouvernement qui se prend de gauche : l’annulation purement et simplement des charges patronales.
De gauche, vraiment ? Oui, s’il s’agit d’une certaine gauche qui a été au pouvoir.
Mais le libéralisme étant ce qu’il est, il a été considéré préférable de ne pas remplir les caisses des différents organismes sociaux.
L’illuminé semble avoir de la suite dans les idées vis à vis d’un appel à l’unisson puisqu’il fait entrer dans son duo avec un ancien président son prédécesseur.
Ainsi, le trio infernal pourra aller de concert servir les bouquets de fleurs aux monuments en paix.
Mais seront-elles des roses en pleine fleur à cette époque ?
