Y a t-il un lien de cause à effet à l’attirance des grands patrons sérieux, et présents au cénacle de ceux qui se trouvent puissants, pour la France avec la sortie en 10 pages des moins sages de la Cour de comptes annonçant la création et la survivance d’une poche de « misérabilité » à la mode d’un pays sous développé non industrialisé, remplis de vieux grognons qui seront, moyennant quelques subsides de pain et eau même pas blanche, corvéables à demeure et sachant dire merci ?
On ne le sait pas encore, mais à voir la satisfaction de son œuvre terminale (les patrons étrangers promettent quelques milliards d’investissements dans une France si compréhensive), l’ont est content de savoir que notre illuminé à nous à tout compris.
Et dire qu’au moment de sa première élection, l’on avait peur de son inexpérience et que son appétence pour le second âge le rendrait meilleur… Si le premier recul du départ à la retraite à 62 ans a permis 13 milliards d’économies – dont au passage personne n’a vu la couleur sauf les ultras riches avec la disparition de l’injuste Isf correspondant certainement au véritable ruissellement que nous impose notre illuminé toujours bien aimé – cela s’est fait au détriment d’une certaine population atteinte de séisme entre 60 et 64 ans augmentant de 154 % les bataillons des ayants droits au Rsa.
Mais comme la dépense supplémentaire sur les comptes sociaux, dont les ultras riches s’en fichent car ils n’en verront jamais la couleur sous cette forme, n’est que de 1,5 milliards d’Euros, la juste balance de l’économie capitaliste a vite fait le calcul de ce qu’il fallait continuer à faire : porter le vrai âge de la retraite à une ligne d’arrivée encore plus éloignée pour gagner encore plus de fric.
Ainsi ces valeureux salariés d’une ancienne France souriante doivent-ils désormais vivre avec 882€ chaque mois que leur fait l’illuminé contre 1 949€ lorsqu’ils avaient le loisir d’aller au chagrin chaque matin !
