Je ne résiste pas à vous le dire

Je ne résiste pas, en préambule, à faire connaître cette phrase d’un livre dont je ne manquerais pas de vous dire ce que j’en pense dans une de mes chroniques littéraires (!) que vous aimez tant (!).

Il est écrit « Si vous voulez bien me suivre – dit-il sans aller plus loin ».

Vous avez un peu de temps pour prendre conscience jusqu’où vous emmènera cette phrase à pensée sibylline.

Les banquiers ont de drôle de mœurs.

Mais tout le monde le sait depuis qu’ils ont fait savoir qu’ils en avaient après notre argent.

Mais, cela ne les empêchaient pas de dépasser les bornes de la (non) solidarité en faisant payer très chers les problèmes de milieu de mois de ceux qui n’en peuvent, mais… Et voilà que subitement l’on apprend une chose comme elle est bonne de le savoir.

Vous avez une connaissance qui vous fait un chèque.

Sans scrupule aucun, vous le faites encaisser par votre banquier qui s’empresse de faire le nécessaire.

Pourtant quelques jours d’une semaine après, vous apprenez que ledit est impayé.

Votre crédit est donc aux oubliettes pour laisser place à un débit non prévu de fin de mois.

Jusqu’à là me direz-vous, rien de nouveau sous le soleil même si ce n’est pas très brillant.

Mais, là encore, une surprise nous attendait sur notre compte.

Le beau constat d’un débit de 12€ pour frais « F-Rejet sur remise de chèque ».

Et, il semble que ce soit normal, puisque, paraît-il nous sommes « responsable de nos fréquentations ».

Ainsi donc nos amis banquiers vont se faire de l’argent sur le débiteur signataire du chèque et le présumé récipiendaire qui ne l’est plus à l’insu de son plein gré.

Réclamation est faite de cette mauvaise manière.

Mais pas sûr qu’elle porte même s’il s’agit du premier incident sur notre compte depuis la signature du compte qui est encore plus loin qu’avant hier.

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