C’est un peu, beaucoup, comme les stars du football qui gagnent à ne plus savoir qu’en faire que leurs garages ne sont pas assez grands pour remiser leur belles totos toutes neuves de sport haut de gamme comme eux.
Ma cassette, massette, comme l’a si bien piqué Picsou à Molière.
Le seul truc vraiment marrant est de tenir une première ligne de cordée à 3 % limite de déficit nationale pour prouver que l’on en a même si l’on ne sert pas à quoi cela sert sauf à ceux qui s’en servent à cours de bourse.
L’illuminé, malin comme un diable en boîte qu’il aurait mieux fallu laisser enfermé, a cru préférable d’enrichir ses amis, copains-copains, et de ruiner, pour compenser, ceux qui n’avaient rien.
Ce qui ne leur a pas fait de mal puisqu’ils n’avaient déjà rien; erreur d’âne politique.
D’autant plus que ceux qui avaient trop en ont encore trop de plus.
Dans les couloirs des cabinets, il se dit que baisser les impôts pour tout le monde n’était pas possible étant donné les finances trouvées à leur arrivée.
Or, qui était patron du portefeuille en question ? Sans doute un, atteint d’Alzheimer précoce ce qui pourrait expliquer sa haine vis à vis des retraités vieux… Mais ses comptes il sait bien les tenir.
La preuve : les dons reçus en campagne qui seraient sans doute douteux, cf la commission des comptes et la procédure judiciaire qui s’ensuit, n’auraient pas été dépensés lors de cet Austerlitz.
Ce qui ne peut être prouvé, donc pas vus pas pris…En tout cas les sommes en jeu n’ont rien à voir avec les aventures étrangères du patron brillamment reconduit par son état major français.
Comme quoi, les hauts administrateurs n’ont rien à voir avec les gaulois de France.Et bien entendu, cela n’a pas empêché le marié à la professeure de faire la leçon à celui qui disait son étonnement à ce moment.