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Il est toujours là où il faut pas

« Insensé qui croit que je ne suis pas toi », quel drôle de langage employé par cet homme célèbre, avez-vous décrypté ? Voilà que désormais, en Outre Atlantique, l’on va remettre les diplômes selon la catégorie de l’individu(e) l’ayant obtenu.

Chaque catégorie aura sa cérémonie bien à elle, facilitant son intégration dans son ghetto.

Là où des personnes bien intentionnées ont l’intention de lutter contre les guerres entre pays, et il y a du boulot, d’autres s’acharnent à faire des guerres entre clans pour savoir qui l’emportera sur l’autre.

La catégorie n’a pas de frontière physique, seul la morale compte.

Les vaccins arrivent à compte-gouttes.

C’est bien, cela devraient faire plus de doses disponibles.

Pendant que le nouveau amorphe d’Outre Atlantique fait les gros yeux à ses deux partenaires économiques adversaires, L’UE dit son fait au producteur européen de vaccin qui ne veut pas honorer son contrat sur le terrain.

Si vous ajoutez cela aux différentes guerres et conflits qui ne disent pas leur nom, il semble bien que nous sommes sur une poudrière.

Les écolos veulent savoir si elle est solaire ou nucléaire.

Un certain éditeur en a pris l’habitude de rouler dans la farine quelques lecteurs constructeurs qui dépensent sans compter.

Là où ils pourraient satisfaire leur plaisir solitaire, ici ils dépensent sans compter sans même s’en apercevoir.

En effet, pour créer, dernière nouveauté, une figurine de science fiction, il faut pas moins de 100 revues indigestes.

Certes la première est déclinée à 50cts le N°.

Mais, il n’est pas dit dans le Numéro que ce tarif serait maintenu pour les autres.

Vous me suivez ? Après nous avoir roulé dans la farine du père fouettard, l’illuminé clame sur tous les tons que rétropédalage toute, il ne nous (re)met pas en confinement.

Juste une jauge de freinage du virus extériorisée, d’ailleurs les surfaces de bricolage d’une superficie de plus de 20 000M2 redeviennent essentielles comme avant hier alors qu’hier on les fermaient.

Les petits commerces apprécieront.

Ceux vendant des babioles comme des vêtements, chaussures auront compris tout comme les vitrines d’artistes ne servant à rien.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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