Le gouvernement ne lâche rien. A la Toussaint, veille de la fête des morts précédent celle d’Halloween, il déclare celle des fumeurs.
Sachant bien que parmi les plus démunis, il y a masse de fumeurs, il augmente encore le droit à fumer.
Ainsi ces braves gens qui déjà s’époumonaient, vont-ils devoir s’éclater pour trouver monnaie.
Mais, comme dans sa communication, ce gouvernement dit qu’il aime bien ces gens, surtout ceux qui sont en deçà du seuil de la pauvreté, qui constituent 20 % de la population française sans compter les migrants dont officiellement l’on ne connaît pas le nombre, et a sorti sa flush royale pour leur donner appétit.
Pensez, pour bénéficier du chômage, il faudra avoir précédemment travaillé 6 mois de n’importe quelle activité.
Ainsi, comme le faisait remarquer une étudiante qui en a dans le ciboulot, le précarité en début de vie professionnelle est renforcée et ce sont les patrons qui sont contents.
A propos, comme ils savent désormais avec certitude combien va leur coûter ce cadre supérieur qui leur coûte trop cher, ils vont s’en débarrasser fissa.
Puis, comme ses indemnités vont baisser drastiquement au bout de 7 mois, 30 % de moins sur un revenu déjà à 55 %, le patron lui proposera de le reprendre à moitié prix.
Et si le cadre chômeur dégoûté refuse, il se risque à la suppression totale de son aumône ou alors se sentira obligé de se faire niquer par un copain de son ancien tortionnaire qui le pêchera à 60 %.
Elle est pas belle la vie ? Bien entendu, plus bas est la hiérarchie du travail plus dur en seront les circonstances aggravées par ces réformes que prisent les gens lorsqu’ils ne se sentent pas directement concernés.
De précarité en précarité, tu finiras dans la précarité et le patronat conservera une base d’esclaves à merci en veux-tu en voilà.