Réflexions

Faut croire…

Le système patronal ne fait qu’obéir au dogme capitaliste du toujours plus pour moi et les économies pour le reste de ceux dont j’ai besoin pour m’enrichir.

Aussi, tout ce qui tend à paraître comme une contrainte non utile est contraire à la bonne raison du capital et les états sans autre raison doivent s’y soumettre.

Ce n’est pas sur la minorité des gros actionnaires riches de partout qu’il faut taper.

Mais, c’est bien sur la grande majorité des pauvres et de ceux qui tentent de ne pas l’être qu’il faut agir comme variable d’ajustement.

C’est comme l’ancien de la première chaîne qui va oser dire tout ce que tout bon capitaliste pensait tout bas, et pense encore, il faut savoir comment bien utiliser le temps de cerveau disponible de la grande masse.

Les entreprises sont pareilles, elles tentent d’exploiter au mieux les capacités insoupçonnées des qualités physiques et mentales de ses sujets ayant qualité de salariés ou clients.

Et la réussite se traduit, comme disait l’ancien publicitaire matérialiste se disant de gauche, par la qualité du garde-temps que l’on cerclait autour de son auguste poignet.

Et l’on se devait le faire à la pointe de la force de son âge, car après l’apogée finie dans une sombre retraite égoïste ne profitant à personne.

Mais il semblerait que c’est juste au moment de proférer cette belle maxime, que la marque choisie en référence a commencé à décliner.

La seule explication utile est que si un bien ou tout autre objet est à la portée de tous, il n’est plus guère utile à l’élite ne pouvant plus se reconnaître et devient un accessoire de brocante à ne plus voir.

Chante au clair du jour beau coq, maître France est passé sous la barre de ces fameux 3% exigé par dame Europe.

Mais surtout vous qui avez participé à cette grande aventure volontairement de votre vote bafoué, ne pensez surtout pas que l’effort est fini, car il reste tellement à faire pour calmer la mauvaise humeur patronal toujours prête à inventer un plus de sueur.

Et il faut bien calmer l’appétit d’ogre de ces féroces riches à milliards à qui en veut je garde tout pour moi…

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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