Farce et attrape-moi

Google, pour mettre fin aux poursuites judiciaires, a accepté de régler 500 millions pour effacer son ardoise imposable et 499 autres pour ses impôts.

Près d’1 milliard pour s’en sortir.

L’on devine bien tout l’intérêt du marché français ouvert sur l’Europe.

L’obs renvoie son marronnier du prix au M2 de l’immobilier.

Il se veut exhaustif en parcourant les villes de Provinces et de France.

Mais, comme chaque année, il oublie la grande ceinture que le grand paris ennuie.

Les bobos continuent de sévir et considérer qu’un petit département comme le 95 ne vaut que des clopinettes.

Pourtant, ceux qui ne peuvent plus payer avide de verdure sont bien heureux d’y être reçus.

Bien qu’il ait nommé un nouveau ministre en l’état chargé uniquement de mettre en avant son rapport bien préparé, le gouvernement tergiverse tant il voit le nombre de ronds-points poindre.

Son horizon commence à se boucher telles ces routes allant sur les villes à cause des transports qui ne transportent plus.

Il ne manque que les camionneurs et ce sera la fête avant l’heure.

Aussi, pour mettre tout le monde d’accord, un énième audit financier ait demandé pour avoir l’accord de l’ensemble des acteurs soudain revenus dans le jeu.

Le compte sera social ou capitalistique, c’est là toute la question d’un (re)positionnement pour continuer la marche de l’illuminé.

Dans les faits, l’équilibre financier des retraites de base dépend largement des politiques patronales et gouvernementales.

S’il est décidé un départ en masse de fonctionnaires, il avait été question de 180 000, c’est autant de cotisations en moins versées.

Mais s’il était « réduit » à 85 000, c’est autant de moins qu’il y aura en moins.

Et s’il y en avait zéro pour sauver le service public, la caisse serait-elle aussi sauvée ?

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